God's Angel
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 (>^o^)> Description Grayzwandir

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Grayzwandir
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Grayzwandir


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MessageSujet: (>^o^)> Description Grayzwandir   (>^o^)> Description Grayzwandir EmptyMer 4 Jan à 18:37

Bonjour à vous ^^
Vous voilà sur ma description RP, qui est déjà assez longue, et qui n'a pas fini de grandir (au passage, après ce post, je vais en réserver environ 5 à 10 après, je demande de ne pas les supprimer, ils seront utilisés pour d'éventuels ajouts plus tard, lorsque mon Background sera achevé. Merci ). Si vous voyez des fautes d'orthographes, prévenez moi ! Ne perdez pas courage, je sais qu'elle est longue, mais j'espère, que, au final, la lecture vous aura récompensé Wink
Bonne lecture à vous !

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(>^o^)> Ma description




°(^o^)o Introduction o(^o^)°

Ma plume hésite, puis échappe à ma main noueuse, laissant une bavure d’encre sur le papier. Encore une feuille gâchée, dans une entreprise que je soupçonne fort d’être vaine. Je me demande si je puis écrire cette histoire ou si, à chaque page, transparaîtra un peu de cette amertume que je croyais éteinte depuis longtemps. Je m’imagine guéri de tout dépit mais, quand je pose ma plume sur le papier, les blessures d’enfance saignent au rythme de l’écoulement de l’encre, et je finis par voir une plaie rouge vif sous chaque caractère soigneusement moulé.
Geairepue, mon ancien instructeur, manifestait un tel enthousiasme chaque fois que l’on parlait d’écrire mon histoire, que j’ai fini par me persuader que l’effort en valait la peine. Je me suis convaincu que cet exercice détournerait mes pensées de mes souffrances et m’aiderait à passer le temps. Mais chaque évènement que j’étudie ne fait que réveiller en moi les ombres de la solitude et du regret. Je crains de ne devoir abandonner cette tâche si je ne puis accepter de revenir sur tout ce qui m’a fait tel que je suis. Je ne sais même pas à qui je m’efforce d’expliquer qui je suis. Dois-je coucher des mots sur le papier, pour n’en tirer, au bout du compte, que flammes et cendres ?
Peut être …


o(^o^)° Partie Une °(^o^)o

Un flocon de neige, tombant paresseusement au sol, s’écrasa à mes pieds, suivi bientôt par des centaines d’autres, tous aussi paresseux. Et le vent, agitant les branches des arbres dénudés, mordait ma peau de son air glacial, malgré mes vêtements. La neige, gigantesque étendue blanche, s’étendait à perte de vue, cachant le chemin que j’avais si souvent emprunté, celui qui me menait à ma maison. Ma maison … Elle se trouvait derrière moi, construite en rondins de bois, et de la fumée s’échappait de la cheminée, chauffant l’habitation par cette froide nuit d’hiver. La Lune, haute dans le ciel, fut un instant cachée par un grand nuage gris, et le souffle du vent n’en rugit que plus fort, le froid me faisant horriblement frissonner, me rappelant à ma détestable condition. Détestable ? Oui, car, l’obscurité de la nuit, la nudité des arbres, et la morsure du froid, étaient des choses que je sentais trop proches, beaucoup trop proches. Que n’aurais-je rêvé de m’asseoir près du feu ! Mais les faits étaient bien là, mon père m’avait chassé de la maison, pour une raison stupide, que je ne citerais pas, car, même à présent, cet évènement reste une plaie ouverte, qui ne finit pas de cicatriser. Je me souviens avoir voulu rentrer dans la maison, implorer mes parents de ne pas me laisser à l’extérieur, mais je n’ai pas pu. Le souffle du vent repris, plus fort, me faisant claquer des dents malgré mes vêtements. Je m’assis par terre, me recroquevillant sur moi-même, les bras autour des genoux, et ne retins plus mes larmes. Je laissais libre cours à mon chagrin, laissant couler des larmes tièdes le long de mes joues. Cette douce chaleur me procurait un léger réconfort, dans cette glaciale nuit d’hiver, emmenant mon esprit loin d’ici, dans des contrées imaginaires. Je fermais les yeux, et laissais mon esprit s’envoler …
Un pas lourd se fit entendre, se rapprochant de moi, me réveillant. Au fur et à mesure que se réveillaient mes sens, des douleurs apparurent. J’avais passé toute la nuit le dos recourbé, et les effets se ressentaient. J’avais très mal à la tête, étant sûrement malade. J’essayai d’ouvrir les yeux, mais l’effort fut trop grand pour les maigres forces qu’ils me restaient. La personne m’empoigna de ses deux mains, grognant sous l’effort, je me débattis, du moins, j’essayais, mais cela provoqua chez moi une si vive douleur dans mon dos que je sombrais dans l’inconscience.
Je clignai des yeux, trois fois, et la pièce repris son aplomb. J’étais couché dans un lit confortable, la tête posée sur un traversin. Un plafond blanc me faisait face. Je relevai la tête et découvris le reste de la pièce. J’étais dans une chambre, qui ne me semblait pas particulièrement vaste, bien que meublée avec un certain goût. Une grande armoire, installée dans le coin de ma pièce, était éclairée par la lumière d’un rayon de soleil, venu d’une fenêtre. Sous celle-ci était installé un simple bureau en bois, nu, avec une chaise de la même matière. Ce n’était pas une décoration luxueuse, mais pas non plus de simples meubles que l’on trouvait dans une simple maison de paysan. Près du lit était installée une table de chevet, avec une petite lampe à huile. Mes effets y reposaient ; ma montre, les quelques pièces d’or que je possédais, mais aussi une très jolie bague, ornée d’un saphir. La pierre était d’un très beau bleu, de la même couleur que la mer que l’on pouvait apercevoir de la côte. Je passais l’anneau à mon doigt.

Il existait différentes formes de magie dans le monde, comme me l’avait appris mon professeur. Les forces magiques, si l’on suivait la légende, étaient situées dans un lieu secret, que l’on ne pouvait pas gagner par la voie de terre, ni celle de mer. Mais une faible partie de cette énergie était tout de même présente dans l’air, dispersée sur la planète. On avait depuis longtemps découvert comment enfermer les énergies magiques dans un objet de pouvoir, et cet art n’avait cessé de s’améliorer au fil du temps. Mais les magiciens étaient rares, car la plupart du temps mal vu des différents peuples, qui acceptaient mal de savoir que quelque part, il existait des hommes disposant d’un pouvoir qu’eux ne connaîtront sûrement pas. Ainsi, la plupart des magiciens s’étaient lentement convertis en prestidigitateur, amusant les foules dans les foires avec des tours de passe-passe. Mais les arcanes de la magie s’enseignaient encore, mais plus secrètement. La plupart des personnes possédant ce pouvoir ne cessaient de se déplacer, accroissant leurs connaissances sur le monde. Il arrivait cependant que certains prennent avec eux un apprenti, qu’ils estimaient assez doués pour connaître les pouvoirs que leurs conféraient cette énergie disséminée dans l’air.
Certains sages avaient déjà découvert une partie du fonctionnement de la magie. Les particules d’énergie présentes dans l’air étaient reliées à diverses sources de magie brute situées de pars le monde. En enfermant des particules dans un objet, on avait un accès permanent à la source d’énergie brute dans laquelle on pouvait puiser. Une fois amassé une quantité suffisante de magie brute, on donnait la forme à son sortilège, toujours grâce à l’objet de pouvoir. Le sort ainsi conçu pouvait être « lancé » immédiatement ou « suspendu » sur une « guirlande » pour le mettre en réserve. Chaque personne avait sa manière propre de former ses sortilèges, de même que chaque homme avait une affinité différente avec les éléments utilisés, suivant la source ou il puisait. Il arrivait cependant, rarement, certes, mais il arrivait quand même, que la source était polyvalente à toutes sortes d’éléments, et le magicien possédait alors un pouvoir bien plus grand que ses confrères … et un danger plus grand encore. Car la magie n’était pas sans risque. Un sortilège mal formé pouvait produire des effets désastreux lors de son utilisation. De même, une personne n’ayant pas avec elle un objet de protection contre la magie aura de fortes chances de se blesser lors de la mauvaise élaboration de son sortilège. Plus le sortilège nécessitait d’énergie brute, plus le risque était grand, et il arrivait parfois que le sorcier ressente un grand trouble mental qui l’empêche de se concentrer et d’utiliser un sort. Toutes sortes d’accidents pouvaient arriver, du plus infime jusqu’à la mort.
Et, lorsque je passais l’anneau à mon doigt, les forces magiques s’emparèrent de moi et prirent possession de mon corps.

Je sortis brusquement du sommeil, en m’apercevant que j’avais la vessie pleine et une faim de loup. Dehors, il faisait nuit, et une Lune presque pleine éclairait le ciel étoilé. Je repoussais les couvertures et me redressais, dans mes vieux habits chiffonnés, un peu trop grand pour moi, que je portais la veille. La porte débouchait sur un couloir, sur lequel aboutissaient deux autres portes. L’une d’elle était située juste à ma gauche, et la seconde un peu plus loin, sur la droite. L’entrée du couloir était quant à elle tout au bout, sur la gauche. La chambre n’était pas très large sur la droite, et bien plus sur la gauche, j’en déduisis que la bonne porte était sûrement celle située plus loin à droite. Le parquet grinçait sous mes pas, et, dans le silence de cette bâtisse, cela me semblait être un boucan épouvantable. La porte fut atteinte en quelques pas, et, quand j’eu ouvert la porte, je me suis aperçu que je ne m’étais pas trompé, j’étais bel et bien dans les latrines. Elles étaient constituées en une sorte de cuvette, munie d’un rebord sur lequel on pouvait s’asseoir. Une installation rudimentaire, mais largement suffisante pour mes besoins. Ma vessie détendue, je dus retraverser le couloir, et les grincements me semblaient encore plus bruyants qu’auparavant. Je poussais la porte de ma chambre quand un mouvement attira mon attention, près de la fenêtre. Une ombre tendit la main, et une lumière blanche envahit la pièce, m’éclairant les traits de l’ombre, qui se révélait être une femme.
Elle avait un nez légèrement aplati, une bouche souriante, et des yeux bleus à demi cachés derrière des cheveux verts qui lui arrivaient à mi poitrine. Ses seins étaient retenus par un bustier marron, qui devait se fixer dans le dos, mais je ne pouvais le confirmer, une cape me cachant son dos. Son ventre était découvert, mais elle portait une sorte de pagne au niveau des hanches, et des chaussures complétaient son habillement.
-Bonsoir, Grayzwandir.
-Qui êtes-vous ? Comment me connaissez-vous ? demandais-je, me ressaisissant.
-Je m’appelle … Yuufa. Ce n’est pas mon vrai nom, mais c’est ainsi que l’on me nomme, et tu n’as guère besoin d’en savoir plus. Pour répondre à ta seconde question, sache que nous nous connaissons depuis plus longtemps que tu ne le penses, même si je ne suis pas surprise de savoir que tu m’as oubliée.
Etrange … Son visage ne me disait pourtant rien. Mais essayer d’en découvrir plus sur elle me semblait être une entreprise futile, au vu de la manière dont elle avait répondu. J’estimais cependant qu’elle devait avoir à peu près le même âge que moi, et je classais cette information dans un des tiroirs de mon esprit. Je sortis de l’impasse et m’essayait sur une autre voie.
-Où suis-je ? Et pourquoi suis-je ici ?
-Vous êtes dans mon ancienne demeure, et j’ai bien peur que le nom de la bourgade la plus proche ne vous dise rien. Mais, maintenant, trêve de plaisanterie, je ne suis pas ici pour subir un interrogatoire. Je ne vous ai pas non plus amené ici pour vos beaux yeux bruns, si charmants soient-ils, ni pour votre coiffure, que j’apprécie pourtant beaucoup. Non, je vous ai amené ici, car j’ai besoin de votre aide, et que je suis moi aussi en mesure de vous aider.
Ah, elle en venait au sujet qui l’intéressait. Je trouvais ça un peu brusque de sa part, et je lui en voulais, pour moi qui était complètement perdu dans cette toute nouvelle situation, mais je ne pouvais jamais en vouloir longtemps au jolie fille, et cela me gênait. Enfin, j’étais bien forcé de suivre la marche, c’était elle qui dirigeait, et elle le savait. Je ne pouvais pas faire grand-chose sans elle, ne sachant même pas où je me trouvais.
-Votre aide m’importe peu, je ne peux rien faire sans vous, et vous le savez bien. Dites moi ce que je dois faire.
-Patience Grayzwandir, vous ne pouvez rien pour moi pour l’instant, mais moi, au contraire, je vais faire quelque chose pour vous, car c’est dans mon intérêt, mais également dans le vôtre.
-Qu’allez vous faire ?
-Vous enseignez les arcanes magiques.

Après cette déclaration qui m’avait laissé bouche bée, elle était sortie sans un mot, et j’avais entendu ses pas à l’extérieur. Je m’étais pour ma part assis sur mon lit, et le sommeil n’avait pas tardé à me gagner, malgré les nombreuses heures pendant lesquelles j’avais dormi profondément. Ses pas m’avaient réveillés alors que le Soleil se levait, et elle avait toqué à la porte en m’annonçant que le petit déjeuner était prêt. Je me levai en hâte, le ventre encore plus vide que la veille, ouvris la porte, traversai le couloir, et tournai à gauche, pour aboutir sur une grande pièce. Aïna était déjà assise au bout de la table, et était apparemment occupée à étaler de la confiture sur un morceau de pain. Elle s’était visiblement lavée, car ses cheveux étaient encore humides, et je me dis que j’aurais moi aussi bien besoin d’un bain. Je me promis de lui demander quand je le pourrais. Elle releva la tête à mon arrivée, et un sourire éclaira son visage.
-Bonjour ! Venez vous asseoir, je viens juste de commencer !
Etrange, comme son ton pouvait changer. Sa voix cassante avait disparue, pour laisser place à une voix enjouée. Je m’assis face à elle, et regardai, gêné, le bacon, les œufs, la confiture, et le pain qui trônait sur la table, sans me décider à remplir mon assiette et soulager mon estomac qui criait famine. Elle avait du sentir mon désarroi, car un sourire se forma sur ses lèvres, et un petit rire ne tarda pas à sortir de sa bouche, exprimant l’ironie de la scène. Sachant que je ne me déciderais pas, elle me servit elle-même de tous les aliments, et m’encouragea à manger. Je n’étais pas habitué à avoir autant d’aliments sur la table. Issu d’une famille paysanne, on ne se contentait que d’un plat pour chaque repas, et l’on m’avait très tôt appris à ne pas trop manger, non pas par manque de nourriture, mais surtout pour un éventuel passant, qui arriverait sûrement affamé. Les pèlerins ou autres personnes n’étaient en effets pas rares, et l’hospitalité était très présente dans mon village. Mais mon estomac prit finalement le dessus dans la bataille qui l’opposait à mes habitudes, et je mangeai tout ce qu’il y avait dans mon assiette, sous le regard amusé de Yuufa.


Dernière édition par le Mer 4 Jan à 18:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (>^o^)> Description Grayzwandir   (>^o^)> Description Grayzwandir EmptyMer 4 Jan à 18:38

Après avoir répondu aux besoins de mon estomac, débarrassé la table et avoir aidé à laver les ustensiles de cuisine et le couvert dans un ruisseau, je me décidai à penser à ma toilette personnelle, qui devait commencer par un bon bain.
-Hum … euh … Excusez moi, mais … euh … où pourrais-je me laver ? L’eau de ce ruisseau est-elle euh … utilisable ?
Ma question était plutôt maladroite, mais, étant timide, je ne pus faire mieux.
-Il est vrai que vous ne sentez pas la rose ! Oui, l’eau de ce ruisseau est utilisable, mais, si votre odeur ne vous incommode pas trop, je vous conseillerais d’attendre un peu, le temps de me laisser finir la vaisselle, et de me suivre, vous pourrez jouir d’un vrai bain.
Le ton était moqueur, mais je n’en fus pas vexé, la bonne humeur régnant dans son ton m’indiquant qu’elle n’avait pas dit ça pour me froisser. Je la laissais donc finir sa vaisselle, et je l’aidai à rentrer une bonne part de ses ustensiles. Mon attente fut cependant largement récompensée, car, après avoir ranger les couverts, elle m’a mené dans une pièce assez vaste, au centre de laquelle il y avait un grand bassin. Il était rempli d’eau, et était bordé de nombreux robinets.
-Qu’est-ce ? Est-ce là que vous vous lavez ?
-Oui. Et également où je nage. Savez-vous nager Grayzwandir ?
-Euh … et bien … je vous avoue que l’on s’était efforcé de m’apprendre, mais que je n’ai jamais vraiment … excellé dans cette discipline.
Sa question m’avait gêné. J’étais vraiment un piètre nageur, et le domaine de la natation ne m’avait jamais vraiment passionné. Ou peut être était-ce plutôt le fait de nager dans une eau sale qui me faisait horreur, car, à la vue de cette eau claire, comparée à l’eau boueuse de mes souvenirs. Qui aurait eu envie de nager dedans ? Certains m’avaient même dit que d’étranges poissons vivaient au plus profond du lac. Heureusement, un petit puit se trouvait à proximité de la maison de mes parents, et je n’avais donc pas besoin de me laver dans l’eau sale. Une pensée menant à une autre, je me souvins des soirées que je passais près de la cheminée, assis près de la cheminée, pour me protéger du froid, soirées que je passais à jouer avec ma soeur, à écouter ma mère racontant les dernières histoires qui courraient dans le village. Ma sœur … une immense tristesse m’envahit, à la pensée que je ne la reverrais peut être plus avant longtemps, voir même plus du tout … Non, cela n’arriverait pas. J’attendrais que l’orage passe, quelques mois, et je retournerais les voir. Mais en attendant, que faire ? Je regardais autour de moi, m’attardant sur l’eau tiède qui reposait dans le bassin. La réponse fut alors claire, et elle vint instantanément. Yuufa partie, je me dévêtis, et m’installa confortablement dans l’eau chaude. Que mes problèmes familiaux aillent attendre, j’irais d’abord paresser dans l’eau.

Suite à venir ... dans les prochaines années !
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MessageSujet: Re: (>^o^)> Description Grayzwandir   (>^o^)> Description Grayzwandir EmptyMer 4 Jan à 18:40

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